Bonjour à tous,

Après dix ans chez Canalblog, j’ai décidé d’offrir une nouvelle identité à mon blog, et soyons honnête, un petit souffle de modernité.

J’ai donc choisi de migrer son contenu sur WordPress, en achetant un nom de domaine et en hébergeant moi-même sa base. Vous le trouverez à sa nouvelle adresse : http://bouquinbourg.fr/

Pour l’instant, la migration est loin d’être parfaite (miniatures des billets approximative, intégration des 1100 billets et plus de 21 000 commentaires parcellaire, etc.) mais plutôt que de boycotter Canalblog qui devient de plus en plus laborieux à utiliser et ne plus écrire, j’ai préféré vous donner accès à cet espace même s’il est imparfait. Je travaille fort pour le perfectionner depuis des jours et j’ai bon espoir que tout s’arrange dans les jours et semaines à venir.

Vous retrouverez donc, à terme, l’intégralité de mon ancien blog sur le nouveau. Mais pour l’instant, il faudra vous contenter d’un contenu parcellaire.

En attendant, je reprends mes chroniques dès mercredi avec La BD de la semaine et je chroniquerai dans la foulée mes dernières lectures sur ce nouvel espace. Il n'y aura plus de nouvel article ici et le contenu ne sera plus mis à jour.

N’hésitez pas à vous abonner à la newsletter sur le nouveau blog pour ne rater aucune publication.

Merci de votre fidélité et bienvenue sur ce nouveau Bouquinbourg !

Bonjour à tous,

Jamais je n'aurais cru, en commençant à écrire ce blog il y a dix ans jour pour jour, qu'il serait toujours là, tant d'années après. Jamais je n'aurais imaginé la place qu'il prendrait dans ma vie, le temps que j'y consacrerais, les rencontres que je ferais, les échanges qui naîtraient autour d'une de mes passions - certainement la plus importante dans ma vie -, et tout le plaisir que je ressentirais à rendre compte, au fil du temps, de mes lectures. Parce que le maître-mot de ce blog, c'est bien le plaisir.
Et je vous l'ai toujours dit : le jour où je n'aurai plus de plaisir à écrire à Bouquinbourg, je cesserai d'alimenter cet espace. Mais force est de constater que le plaisir est toujours intact au fil des années, malgré quelques fluctuations, et que presque toutes mes lectures ont été chroniquées ici ces dix dernières années (hormis tous les ouvrages liés à ma reprise d'études il y a quatre ans et certains pour ma reconversion professionnelle aujourd'hui).

Malgré l'évolution des formats de communication, les blogs continuent d'être lus et de générer de beaux échanges (en témoigne mon billet du Read-a-thon d'Halloween le mois dernier !) et ne sont pas prêts à mourir, quoi qu'en disent les mauvaises langues qui préfèrent la vidéo à l'écrit.
Bien que je n'y attache plus trop d'importance (un des nombreux avantages de la maturité^^), les statistiques de fréquentation sont des témoins qui ne mentent pas et même si mes billets ne sont pas tous largement commentés - et dans un monde où tout va vite, très vite, tout le temps, c'est compréhensible, surtout avec les smartphones peu ergonomiques pour les commentaires - je sais qu'ils sont lus et trouvent toujours un lecteur attentif dans ce monde numérique si vaste.

Pour fêter ses dix ans, Bouquinbourg va se refaire une beauté. Non pas avec une énième refonte de son design mais cette fois par une migration de plateforme. Si vous me suivez sur Instagram (un outil qui est rentré dans ma vie il y a quatre ans et qui me permet aujourd'hui d'avancer grandement sur plein de sujets : le véganisme, le zéro déchet, etc.), vous savez que je bricole une migration sur Wordpres avec un hébergement indépendant depuis cet été. Le tâche est longue, je suis perfectionniste et ma reconversion professionnelle et d'autres projets personnels me laissent peu de temps pour la terminer, mais elle avance bien.
Mon temps sur Canalblog est sur le point d'être révolu. La plateforme m'a lassée par ses publicités, ses temps de chargement, son ergonomie vieillotte et ce que certains appellent "un look délicieusement vintage".
J'aurais adoré pouvoir vous dévoiler cette nouvelle version de Bouquinbourg aujourd'hui mais elle n'est pas terminée, ce qui en soi n'est pas un drame. Je travaille sur mon lâcher-prise et sur l'acceptation que les journées ne durent que 24h et que parfois, on ne peut pas faire tout ce qu'on avait prévu. Il faudra donc patienter encore un peu pour la découvrir !