Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

Bienvenue à Bouquinbourg

26 août 2011

Souvenirs souvenirs...

Que de bons souvenirs lors de ce voyage en Irlande...
Je ne vous fais pas languir plus longtemps :
comme promis en voici un petit aperçu.
 
 P1020533 P1020568

P1030004 P1030031

P1030076 P1030007

P1030155 P1020611

                                       P1020687 P1030194

P1030192 P1030193

P1030110 P1030139

 

 

 

Publicité
Publicité
25 août 2011

L'invité, Roald Dahl

D'origine norvégienne, l'écrivain Roald Dahl est né en 1916 au pays de Galles. Mondialement connu pour ses oeuvres de littérature de jeunesse aussi loufoques qu'oniriques - entre autres Charlie et la chocolaterie, Le Bon Gros Géant, Matilda -, il n'en demeure pas moins l'auteur de nombreuses nouvelles, de scénarios ainsi que de deux textes autobiographiques, Moi, boy et Escadrille 80. L'invité est une nouvelle parue en 1976 dans le recueil La grande entourloupe.

L'intrigue débute par une mise en abyme mystérieuse : le narrateur, dont on ignore tout, reçoit un matin un énorme colis contenant l'autobiographie que son oncle Oswald lui lègue. Vingt-huit volumes en cuir reliés. Désireux de connaître la vie tumultueuse de ce parent éloigné, il dévore l'intégralité de ces livres avant de se demander si une éventuelle publication d'un extrait ne serait pas bénéfique. Mais l'oncle Oswald a eu une vie des plus riches en plaisirs, notamment de la chaire. Le narrateur décide donc de ne publier qu'un épisode : celui dans lequel son oncle, fuyant le Caire où il a séduit la maîtresse d'un personnage haut placé, se trouve en panne en plein désert du Sinaï et est hébergé chez un homme étrange. Sa demeure ? Un château magnifique au milieu du désert. Sa raison ? Garder jalousement sa fille en âge d'être mariée. Pour le séducteur Oswald, l'affaire est trop tentante pour ne pas y succomber...

L'invité est une de ces nouvelles, très courte - 95 pages -, qui peut se targuer d'emmener son lecteur dans un univers riche et haut en couleurs. Roal Dahl nous entraîne ici dans les confins d'un Orient aux senteurs des Mille et Une Nuits. Impossible de ne pas penser à ce texte lors de cette lecture.
La forme du récit, tout d'abord, n'est pas sans rappeler les contes fruits de l'imagination de Shéhérazade chaque fois que le jour se couche. Les péripéties sont nombreuses, malgré la brièveté du texte, et le dénouement non moins moralisateur. Imaginer un personnage séducteur comme Oswald Hendryks Cornelius qui sème le trouble dans les ménages ne peut se solder par une victoire de ce dernier...
Le cadre, ensuite, le désert du Sinaï, participe de cet exotisme enchanteur qui embrasse les fantasmes occidentaux sans jamais y sombrer. La focalisation interne au personnage d'Oswald permet d'agrémenter ce voyage d'une fantaisie et d'un comique rare grâce à ses remarques et ses observations. Roald Dahl réussit avec brio à nous conduire exactement là où il l'entend avec le brin d'excentrisme qu'il souhaite.
Si le héros semble être l'archétype du séducteur invétéré, Roal Dahl déroute son lecteur en parant celui-ci d'un physique banal qui lui permet de se dissimuler des hommes pour mieux séduire par son verbe leurs épouses. Ses bizarreries et autres loufoqueries cassent également cette image ridicule d'homme à femmes. Oswald est ainsi hypocondriaque (la scène de la panne à la station service possède un sens comique incroyable), collectionne les scorpions et les araignées pour mieux séduire ces dames, chante de l'Opéra quand il conduit et possède une collection de cannes incroyable.48925717_p

Avec L'invité, Roald Dahl signe une nouvelle audacieuse, au rythme rapide et à la fantaisie rare. Une petite pépite qui offre une dimension nouvelle aux textes de littérature de jeunesse signés par le grand homme. Je l'inscris bien entendu dans le Challenge 2 euros organisé par Cynthia.

24 août 2011

Le journal de mon père, Jiro Taniguchi

_photoChaque rencontre avec un album de Taniguchi est un moment rare. Si j'ai dénoncé récemment un complot visant à faire succomber les blogueurs aux albums de Chabouté (dans ce billet), je pense que certains vont soupçonner la même manoeuvre à l'encontre de Taniguchi !

Le journal de mon père est un album inspiré de la vie de Taniguchi lui-même qui, par paresse et manque de temps d'après lui, n'est pas revenu dans sa ville natale durant une quinzaine d'années. Dans ce laps de temps, beaucoup de choses ont changé. C'est ce que remarque le narrateur de cette histoire. De retour à Tottori, son village natal, pour les obsèques de son père, il évoque avec les membres de sa famille, lors de la veillée funéraire, son enfance et son départ pour Tokyo. Les ressentiments enfantins à l'égard de son père sont toujours présents, mais la mort l'empêche désormais de résoudre ces incompréhensions et ces silences. Le narrateur se perd dans ses souvenirs et pleure ce père incompris disparu trop tôt.taniguchi-le-journal-de-mon-pere

Jiro Taniguchi, pour ceux qui le connaissent et l'apprécient, ne déroge pas à la règle avec cet album vibrant d'émotion. Il nous livre à nouveau une intrigue simple, fondée sur les relations familiales, qui tend à une certaine forme d'universalité. Regrets, rancoeurs et pardon sont au coeur de cet album très riche. Avec une esthétique bichromique toujours très étudiée, Taniguchi nous donne à voir des personnages à la psychologie fine, permettant ainsi une vraisemblance troublante.
Chaque planche semble découpée et organisée de manière à mettre en valeur la poésie du texte et de cette tranche de vie narrée. Les silences sont toujours aussi présents, et offrent à cette lecture une lenteur savoureuse.
Je milite encore une fois, et je rabâche : Taniguchi est un auteur à découvrir. Même si on a peur des mangas (si si, ça existe), même si on ne lit pas beaucoup de BD, même si le Japon ne nous nous attire pas. Essayez, une fois, et venez m'en parler. Je suis quasiment sûre du résultat...

Les avis de Delphine, Mathilde et L'Emile sur cet album.

Et ce titre signe mon retour à la BD du mercredi de Mango,
après une longue pause estivale,
en tant que dix-neuvième participation !

Logo_BD_du_mercredi_de_Mango_1

 

Et mon retour au Top BD des blogueurs de Yaneck
en tant que onzième participation (note : 17/20) !
Logo_top_bd_2011

 

22 août 2011

De retour de vacances avec le tag des mugs

Me voilà définitivement de retour après un été
loin d'être de tout repos...
Nouvellement installée dans mon appartement,
ayant retrouvé ma connexion au bout de 5 jours,
je suis désormais d'attaque
pour fureter sur vos blogs et vous présenter mes
lectures estivales.
Et je tiens à vous dire que ça m'a manqué !

Mais avant tout, voici un tag sympa, pour lequel je suis très en retard,
mais auquel je voulais répondre.

 

Val en est à l'origine, mais c'est L'Ogresse qui m'a taguée !

Le principe ? Montrer le mug préféré de ma tagueuse,
et le mien, celui qui m'accompagne durant mes lectures...
En grande buveuse de thé, mon placard déborde de mugs et tasses en tous genres...
Le choix a été ardu, mais mon récent voyage m'a permis de trancher...

Voilà le mug de L'Ogresse :

mug

Et le mien, qu'une certaine personne m'a offert en Irlande,
et qui vous en apprend long sur l'identité de ladite personne

et sur nos liens que certains qualifieront de fusionnels...

P1030290

Merci L'Ogresse pour ce tag !

De mon côté, je me dispense de taguer qui que ce soit
car je pense que ce tag a bien tourné en mon absence...

15 août 2011

Raison et sentiments, Jane Austen

Raison et sentimentsParu en 1811 de façon anonyme, Raison et sentiments (Sense and sensibility) est le premier roman de Jane Austen et l'un de ses plus connus.

A la mort de son mari, Mrs Dashwood et ses filles se trouvent privées de leur héritage. Forcées de quitter leur domaine de Norland, elles trouvent refuge à Barton Cottage, dans le Devon. Les réceptions se succèdent, ainsi que les invitations. Si Elinor, l'aînée, reste fidèle à Edward, rencontré avant son départ de Norland, Marianne, la benjamine, tombe rapidement sous le charme de John Willoughby. Et les deux soeurs souffrent rapidement des affres de l'amour et de ses caprices. Tout n'est pas calme, dans le Devon..

J'ai lu il y a peu Orgueil et préjugés, et si j'avais adoré découvrir la verve de Jane Austen et sa critique sociale féroce, je dois avouer que le charme a moins opéré ici.
L'intrigue de ce roman possède de grandes similitudes avec Orgueil et préjugés - des jeunes filles à marier issues d'une petite bourgeoisie désargentée - ainsi qu'avec la vie-même de Jane Austen. Peut-être ai-je lu ces romans de façon trop rapprochée ? Peut-être ne suis-je pas assez patiente ces derniers temps pour supporter sans grincer des dents les personnages de Jane Austen, dont les seuls remous de l'existence semblent se résumer à leur vie affective ô combien tumultueuse ? Peut-être aussi que j'ai moins perçu dans ce roman l'ironie de la femme de lettres anglaise et que les personnalités qu'elle a décortiquées m'ont moins concernée que dans son précédent roman ? Toujours est il que je n'ai pas vraiment été passionnée par cette lecture aux relents parfois mièvres... Je comprends et conçois l'attrait que les romans de Jane Austen peuvent exercer sur certain(e)s lecteurs/rices, mais je pense que le moment était vraiment mal choisi pour moi pour me lancer dans cette lecture et l'apprécier, peut-être, à sa juste valeur.
Sans en nier les qualités littéraires évidentes, je ne peux décemment pas ériger ce roman en grand souvenir de lecture estivale ni le faire entrer dans le panthéon littéraire des oeuvres qui auront marqué mon parcours de lectrice. Une relecture, peut-être, me fera changer d'avis... ou pas ! Lectures communes

Raison et sentiment était une lecture commune avec : Cynthia, Marion, Sofynet, Mélusine, L'Ogresse de Paris, Frankie, Reveline, Sabbio et Missycornish.

Et comme ce roman a donné lieu à un grand nombre d'adaptations cinématographiques, j'inscris tout naturellement cette lecture comme septième participation au Challenge de Will La littérature fait son cinéma.

Et parce que j'adore Hugh Grant, je ne résiste pas à la tentation d'insérer la bande-annonce du film réalisé en 1996 par Ang Lee.

 

Publicité
Publicité
7 août 2011

Chocolat, Joanne Harris

A peine installée dans mon nouvel appartement
- enfin, disons que les cartons et les meubles y sont posés
mais pas encore rangés -

me voilà partie en vadrouille dans mon sud ouest natal !

Pour les photos d'Irlande, je vous demande
un peu de patience... et le temps de retrouver
mon câble d'appareil photo !
Mais il est temps que mon blog se réveille

de sa très (trop) longue torpeur estivale.
Et je tenais à le faire avec un roman qui m'a conquise au début de l'été...

ChocolatChocolat est le roman le plus connu de la romancière britannique Joanne Harris. Née en 1964 d'un père anglais et d'une mère française, Joanne Harris est également l'auteure, entre autres, de Dors, petite sœur, Les cinq quartiers de l'orange, Vin de bohèmeet Le rocher de Montmartre (la suite de Chocolat).

Lansquenet, petite bourgade du Sud de la France, entre Toulouse et Bordeaux. Un village où il ne se passe rien. Un village où les comérages vont bon train. Un village où la parole de l'Eglise prime.
Le jour où Vianne Rocher, jeune mère célibataire, décide de reprendre l'ancienne boulangerie et de la transformer en confiserie, aidée de sa fille Anouk, le village se divise. Entre les partisans des douceurs de Vianne et ceux qui voient en elle la tentation suprême la veille du Carême, des clans se forment...

Quelle lecture ! Tout comme dans Le coeur cousu de Carole Martinez, Joanne Harris nous entraîne ici dans une intrigue riche, très poétique, portée par des personnages féminins forts.
Alliant subtilement le plaisir charnel au plaisir de la bonne chère, distillant ses sucreries comme des remèdes, le personnage de Vianne fait partie de ceux que l'on n'oublie pas facilement, d'autant plus que le roman adopte son point de vue (en alternance avec celui de son grand ennemi, Reynaud, le curé).

Tout est fait pour que le lecteur plonge avec délice dans cette histoire. Le huis-clos, tout d'abord, dans le petit village de Lansquenet ; l'atmosphère lourde, pesante, ensuite, autour de cette jeune mère et sa fille. Les regards peu amènes des villageois, enfin, et la désapprobation de l'Eglise par l'intermédiaire du personnage du curé.
Il fait chaud, cela sent bon, c'est douillet chez Vianne Rocher et Joanne Harris réussit à merveille à créer un huis-clos dans lequel la confiserie de son héroïne tient lieu de refuge maternel aux relents sucrés très utérins. Le chocolat, ainsi que toutes les douceurs confectionnées dans la confiserie, est érigé au rang de plaisir divin par les villageois, certains se cachant pour pêcher, d'autres bravant l'interdit religieux du Carême et les imprécations du curé pour mieux se régaler.

Petit détail, enfin, qui n'est pas anodin dans ce roman et qui participe de cette ambiance désuète : l'absence de temporalité nous fait, à tord, croire que l'intrigue se déroule au début du 20e siècle, avant que des détails technologiques égrainés ça et là ne nous indiquent une époque. Longtemps, je me suis imaginée un petit village français au début du siècle dernier...

coup_de_coeur_2011

Une lecture qui m'a complètement charmée par son côté chaleureux frôlant le fantastique, son humanité et son aspect culinaire. Un nouveau coup de coeur, c'est certain ! Le huitième de cette année...

"Je vends des rêves, de menues consolations, d'exquises tentations inoffensives pour qu'une multitude de saints dégringolent de leur piédestal et viennent se fracasser au milieu des noisettes et des nougatines." (p.61)

"Je me suis efforcé de ne pas regarder les étagères de friandises : des boîtes, des rubans, des noeuds dans des teintes pastel, des monticules de dragées couleur or et argent, des violettes en sucre et des feuilles de rosier en chocolat. Cette boutique tient nettement du boudoir, avec son atmosphère intime, son parfum de rose et de vanille." (p.73)

"Les enfants, lumineux canards de plastique dans leurs imperméables et leurs bottes, braillent et pataugent en traversant la place, et leurs cris ricochent sur les nuages bas." (p.128)

 

Challenge La littérature fait son cinéma 3e catégorie

Et comme ce roman a donné lieu à une adaptation cinématographique par Lasse Hallström en 2000 avec Juliette Binoche et Johnny Depp, voici ma sixième participation au Challenge La littérature fait son cinéma de Will.

 

 

 

29 juillet 2011

Après l'Irlande, un déménagement estival !

 

 

13 juillet 2011

Départ imminent pour l'Ile d'Emeraude...

Ile
Je vous abandonne lâchement une nouvelle fois et mets mon blog en sieste estivale...

Je pars gambader dans les vertes prairies d'Irlande, randonner dans le Ring of Kerry,

m'extasier dans la Dingle peninsula, boire des tas de Guine*s dans des pubs et

dévorer des auteurs irlandais (non, pas au sens littéral... Quoique ?)

A très bientôt !

 trefle-a-7-feuilles

ps : A mon retour, c'est un déménagement qui m'attend... C'est moins bucolique !

11 juillet 2011

L'Inde en fêtes #3 Le National Film Festival de New Delhi et Sita chante le blues

filmLe National Film Festival de New Delhi* se déroule cette année du 17 juin au 26 juillet. C'est le nouveau rendez-vous de notre Challenge L'Inde en fêtes, organisé par Hilde et moi.logo Inde petit

Depuis 1953, ce rendez-vous annuel est l'occasion de couvrir tout le spectre de la production cinématographique indienne.
Pas moins de 161 films et 114 courts-métrages y seront présentés, permettant ainsi de centraliser tout le talent du cinéma indien.

Pour permettre même aux plus modestes d'accéder aux séances, l'entrée est libre, tout comme les projections. La logique du premier assis, premier servi !

cinema

 

A cette occasion, j 'ai eu envie de vous parler d'un film d'animation :

Sita chante le blues de Nina Paley.

Sita

Sita, la déesse indienne, est répudiée par Rama, son mari. Ce film d'animation est l'occasion pour Nina Paley, la réalisatrice, de tisser un parallèle entre le Râmâyana, célèbre épopée de la mythologie indienne, et sa propre vie, puisque son mari a mis fin à leur mariage par e-mail.

Avec des graphismes tout en rondeur, cette adaptation musicale mêle habilement tradition indienne et monde moderne. Et chose assez incroyable, Nina Paley, la réalisatrice, a décidé elle-même de mettre en libre accès son film en visionnage intégral. Une raison de plus pour succomber à cette version très 50's de Sita, fréquemment comparée à Betty Boop !

 3674021kqjdt  3674020hkzoz 

En voici la bande-annonce :


Et si vous voulez succomber dès maintenant et regarder le film en streaming (en VO),
allez faire un tour sur le site officiel du film

 

*A l'origine, ce nouveau rendez-vous de notre challenge devait se pencher sur le Festival de cinéma asiatique et arabe de Delhi, mais faute de données sur le festival de cette année, nous avons décidé, avec Hilde, de nous pencher sur le National Film Festival de New Delhi.

7 juillet 2011

Un weekend en Normandie, entre mer et romans policiers...

Je ne me contente pas d'organiser un swap sur la littérature policière...
Je ne me contente pas de coacher les participants à coup de biscuits secs
et autres douceurs propices à la réflexion...
A d'autres, tant d'amateurisme ! Quand je fais les choses, je les fais en grand !

Ainsi, lorsque je décide de partir en virée en Normandie, à Etretat pour être précise, je pousse le vice à réserver dans un hôtel bien particulier : le Detective Hôtel dans lequel chaque chambre est décorée à l'effigie d'un détective célèbre : Miss Marple, Hercule Poirot, Arsène Lupin, Sherlock Holmes, Emma Peel, Tintin, les Experts...

Et nous avons craqué pour la chambre Sherlock Holmes !

P1020319Une chambre avec beaucoup de charme, uniquement meublée avec des meubles anciens, et décorée avec des objets faisant référence au célèbre détective (un violon, une tête de chien pour rappeler Le Chien de Baskerville, des fioles, etc.)

P1020321

 P1020322  P1020324
Avec une particularité pour la salle de bain : elle est dissimulée derrière un meuble coulissant !

Image normandieOutre cet hôtel, nous sommes tombés amoureux de cette belle région qu'est la Normandie. En nous promenant sur les petites routes, nous avons admiré tant la nature que l'architecture normande, et nous avons pris le temps de nous promener sur les galets de la plage d'Etretat et de grimper en haut de ses deux falaises.

Il faut dire que le soleil ne s'est pas fait prier pour nous accompagner !

Et si vous l'ignoriez, maintenant vous le saurez : Etretat est l'endroit où, durant près de vingt ans, Maurice Leblanc a rédigé les aventures de son célèbre gentleman cambrioleur, Arsène Lupin !

Une visite au Clos Arsène Lupin s'est bien entendu imposée, surtout quand on sait que c'est la maison de Maurice Leblanc que l'on visite !

Clos

Une visite qui permet de se plonger avec délice dans les aventures du héros de Maurice Leblanc. Une plongée dans son oeuvre dont on ne ressort pas indemne, ni les mains vides... Et oui ! Je n'ai bien entendu pas résisté à l'achat de quelques unes des aventures d'Arsène Lupin...

Achats

Si avec ce billet je n'ai pas fait des émules pour Etretat,
le Detective Hôtel et le Clos Arsène Lupin...

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité